Pêle-mêle : Archives

 

 

11 mai 2008, Pentecôte

 

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La Pentecôte, Fresque de la chapelle Scrovegni, Padoue, Giotto, 1304-1306

11 novembre 2008 : Armistice 1918

 

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Assaut sous les gaz, Otto Dix, 1924 (Fondation Otto Dix, Vaduz, Liechtenstein).

14 juillet 2007: Fête nationale

 

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La rue Montorgueil à Paris, fête du 30 juin 1878. Claude Monet, 1878. Musée d'Orsay, Paris.

Le tableau représente la fête de clôture de l'Exposition Universelle de 1878, voulue comme une manifestation d'enthousiasme national et républicain.
Ce n'est qu'en 1880 que le 14 juillet est devenu fête nationale.

14 juillet 2008 : Fête nationale

 

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Manet, la rue Mosnier aux drapeaux, 1878 (J.Paul Getty Museum, Los Angeles).

Comme La rue Montorgueil de Monet, ce tableau illustre la fête de clôture de l'Exposition Universelle, le 30 juin 1878

15 Août 2007 : Assomption

 

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L'Assomption de la Vierge, Le Titien 1516-158, Santa Maria Gloriosa dei Frari, Venise

Les apôtres autour du tombeau regardent la Vierge emportée par les anges.

15 Août 2008 : Assomption

 

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L'Assomption de la Vierge, Philippe de Champaigne, 1671
Eglise de St Julien-en-Beauchêne (Hautes Alpes)

Le tableau avait été commandé par les Chartreux pour le monastère de Durbon.

15 juin 2008 : Fête des Pères

 

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Berthe Morisot, Julie et son père dans le jardin de Bougival, 1881
Musée Marmottan.

17 juin : Fête des Pères

 

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Eugène Manet et sa fille dans le jardin de Bougival, Berthe Morizot, 1883. Collection particulière.

J'aimerais posséder cette collection particulière !

17 mai 2007 : Jour de l'Ascension

 

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L'Ascension du Christ,1510-1520, par Garofalo.
Rome, Galleria Nazionale d'Arte Antica
(Garofalo (1476-1559) appartient à l'Ecole de Ferrare et ce tableau était dans une chapelle de l'église Santa Maria in Vado de Ferrare)

1er janvier 2008 : Bonne année !

 

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Les Boulevards extérieurs, Effet de neige. Camille Pissarro, vers 1897. Musée Marmottan (Paris)

1er mai 2008

 

Ascension ....

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L'Ascension, Fresque de la chapelle Scrovegni, Padoue, Giotto, 1304-1306

... et Fête du Travail.

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La méridienne ou la sieste (d'après Millet), Van Gogh, 1890, musée d'Orsay

1er mai, Fête du Travail

 

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Gustave Caillebotte, Les raboteurs de parquet, 1875, Musée d'Orsay, Paris.

1er novembre 2007 : Toussaint

 

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La Toussaint, Emile Friant, 1888, Musée des Beaux-Arts de Nancy.

1er novembre 2008 : Toussaint

 

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Détail de la Maesta de la cathédrale de Sienne, Duccio, 1308-1311. Museo dell'opera del Duomo, Siena.

20 juin 2008 : c'est l'été !

 

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L'été (ou Ruth et Booz), Nicolas Poussin, 1660-1664, musée du Louvre.

20 mars 2008 : c'est le printemps !

 

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Le printemps, Giuseppe Arcimboldo, 1573. Musée du Louvre

Voilà qui termine la série des saisons d'Arcimboldo.

2007 !

 

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Claude Monet, La Pie, 1868. Musée d'Orsay, Paris.

Tous mes voeux pour cette nouvelle année !

Bonheur, réussite, ....
..... et beaucoup de couture !

21 décembre 2007 : c'est l'hiver !

 

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L'hiver, Giuseppe Arcimboldo, 1573. Musée du Louvre.

Ce tableau appartient à la même série des saisons que l'été et l'automne .
Les armoiries du destinataire, l'Electeur Auguste de Saxe, sont brodées sur le manteau (épées croisées).

21 décembre 2008 : c'est l'hiver !

 

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Nicolas Poussin, L'hiver ou Le déluge, 1660-1664, Musée du Louvre.

21 juin 2007 : c'est l'été !

 

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L'été, Giuseppe Arcimboldo, 1573. Musée du Louvre.

On le voit mal, mais le tableau est daté et signé sur le col (bordé d'épis de blé). Le nez est une courgette, le menton est une poire, la bouche est une gousse de petits pois, l'oreille est une tête d'ail, etc...

21 mars 2008 : Vendredi saint

 

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La montée au calvaire, Pietro Lorenzetti,
Fresque de la basilique inférieure d'Assise, 1317

22 septembre 2008 : l'Automne

 

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Nicolas Poussin, L'Automne ou la Grappe de raison rapportée de la Terre promise, 1660-1664.
Musée du Louvre.

23 mars 2008 : C'est Pâques...

 

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La résurrection, Pietro Lorenzetti (détail).
Fresque de la basilique inférieure d'Assise, 1317.

Cette fresque suit la géométrie du mur, entre la voûte et l'accès à la chapelle Orsini.

23 septembre 2007 : c'est l'automne...

 

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L'automne, Giuseppe Arcimboldo, 1573. Musée du Louvre.

25 mai 2008 : Fête des mères

 

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Berthe Morisot, Le berceau, 1872, musée d'Orsay.

27 mai 2007 : Pentecôte

 

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Attribué à Giotto, vers 1320, National Gallery de Londres.

Les douze apôtres entourant la Vierge reçoivent de la colombe du Saint-Esprit des flammèches qui leur donnent le don des langues pour aller évangéliser le monde.
Les deux personnages au 1er plan s'émerveillent de les entendre parler leur langue.

3 juin 2007 : Fête des mères

 

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Young Mother Sewing (Jeune Mère cousant), Mary Cassatt, 1902. Metropolital Museum of Art, New York.

6 janvier : Epiphanie

 

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Le roi boit ou Repas de famille le jour de la Fête des Rois, Jacob Jordaens vers 1638-40, Musée du Louvre.

8 Mai, Fête de la Victoire

 

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Allégorie de la Victoire, "Mathieu" Le Nain, vers 1635. Musée du Louvre.

Les frères Le Nain (Antoine, Louis et Mathieu) sont surtout connus pour leurs scènes de genre comme Le repas des paysans ou La tabagie. Mais ils ont également fait de grands tableaux d’histoire religieuse ou mythologique, comme cette Victoire.

8 mai 2008, Fête de la Victoire 1945

 

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La Victoire de Samothrace, 190 avant J.-C., Musée du Louvre.

A propos de Coupe Couture

 

Morisot
(Berthe Morisot : Pasie cousant dans le jardin de Bougival, musée des Beaux-Arts de Pau)

[Click here to read the About section in English.]

J'ai toujours aimé coudre.
J'aimais même les cours de couture à l'école. Non pas tant les lignes de points (point avant, point arrière, point de piqûre, ...) mais les vraies réalisations : une blouse de classe en 4ème, un béguin et un bavoir incroyablement désuets en 3ème. (un béguin est un petit bonnet en tissu que l'on mettait autrefois aux bébés : Bécassine en portait un !).

Mais j'ai surtout appris en regardant ma mère coudre pour toute la famille : jupes, blouses, robes, manteaux, ... elle savait tout faire.

J'ai commencé par faire des habits pour ma poupée avec des chutes de tissu.

Ensuite, j'ai fait des vêtements pour moi.
J'observais dans les magasins les vêtements qui me plaisaient, les détails qui en faisaient à mon sens tout le chic.
J'allais ensuite m'approvisionner « chez Max », l'un des grands magasins de tissu qu'il y avait alors sur les Champs-Élysées. Et je me mettais au travail.
Ma fierté, c'était quand on me demandait où j'avais acheté la jupe ou le chemisier que je venais de terminer.

Quand j'ai eu mes enfants, j'ai pris beaucoup de plaisir à leur faire des vêtements.
Et puis, un jour, elles ont préféré les jeans et les sweat-shirts. Cela tombait bien car, à mon bureau, les journées étaient de plus en plus longues et les RTT pas encore inventées.

Récemment, en donnant des conseils à mes filles ou à celles de mes amies, je me suis rendu compte que j'avais accumulé tout un savoir-faire, des techniques de base aux petites astuces qui simplifient le travail, et que ce qui pour moi était une évidence ne l'était pas pour tout le monde.

J'ouvre donc ce site pour expliquer « comment je fais » : les choses les plus simples comme coudre un bouton, et celles qui sont plus délicates comme faire une boutonnière, ainsi que des trucs et astuces comme terminer une couture à la machine ou choisir un fil...

J'espère que ces techniques et astuces vous seront utiles. N'hésitez pas à me soumettre vos questions et suggestions.

Je n'envoie pas de newsletter, mais vous pouvez me suivre sur Twitter, ou utiliser le fil RSS.

Sylvie Dusoulier

Abeille couturière : une émission de la BBC

 

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Léonide Bourges (1838-1909) La Couturière

Dans mon dernier article, je vous signalais le recrutement pour une émission de "télé-réalité" de couture.
Comme l'a fait remarquer une lectrice, la BBC a déjà diffusé une émission du même genre en Grande-Bretagne : The Great British Sewing Bee.

La BBC a retenu un panel de huit concurrents très différents : hommes et femmes, jeunes et moins jeunes..
Le jury est composé de deux spécialistes de la couture.

Chaque épisode comporte trois types d'épreuve : réaliser un modèle à partir d'un patron donné, transformer un vêtement, créer un vêtement pour une personne réelle.
Pendant que les concurrents travaillent, on rencontre une historienne qui nous apprend, par exemple, que le pantalon d'homme tel que nous le connaissons a été inventé par le fameux Beau Brummel, pour se démarquer des Français qui coupaient la tête des aristocrates...

Une très bonne ambiance règne entre les concurrents et avec le jury. Il ne s'agit pas de dénigrer mais d'encourager les uns et les autres.
Bref, j'ai passé un très agréable moment à suivre les 4 épisodes. Alors, si vous comprenez (un peu) l'anglais et que le cœur vous en dit, c'est sur Youtube ...

Et si vous voulez tenter votre chance en France, il est encore temps !

About Coupe Couture

 

Morisot
(Berthe Morisot : Pasie sewing in the garden at Bougival, musée des Beaux-Arts de Pau)

[Cliquez ici pour la présentation en français.]

I have always loved sewing.

I even enjoyed sewing lessons at school. Not so much doing rows of stitches (straight stitches, back stitches, zig zag stitches....) but the serious stuff: a school overall in eighth grade, a bonnet and a bib (incredibly old-fashioned) in ninth grade (this bonnet is called « un béguin » in French, a lovely word that also means « a crush », as « j'ai le béguin pour elle », « I have a crush on her »...)

But most of all, I learnt watching my mother sew for the whole family: skirts, blouses, dresses, coats... she could make anything. I began by making clothes for my doll, using the leftover material from my mother's creations. Then I made clothes for myself.

I would go to the shops and look carefully at the clothes that I liked, noting the details that made, as I saw it, their distinctive « chic ». I would then go to « chez Max » on the Champs-Elysées, one of the best Paris stores selling fabric at the time (now gone, alas... )

I was never so proud as when I was asked, after having completed a skirt or a blouse, where I'd bought it... When I had my children, I took a lot of pleasure in making clothes for them. And then one day, they preferred wearing jeans and T-shirts. It worked out well, since days were getting longer and longer at my office, and they hadn't yet invented the 35-hour week!

Recently, while giving some advice to my daughters or to the daughters of my friends, I realized that I had accumulated a store of know-how, from the basic techniques to the little tricks that make the work so much simpler -- and that what was obvious to me wasn't necessarily so for everybody.

This is why I have started this blog, to explain « how I do it »: the simplest things such as sewing a button, and more delicate ones like making a buttonhole, as well as hints and tips like completing a stitch with a sewing machine, or selecting the correct thread...

I sincerely hope that those techniques and tricks will come useful to you. Don't hesitate to send me your questions, suggestions and comments.

There is no newsletter, but you can follow me on Twitter @SylvieDusoulier

Sylvie Dusoulier

P.S. This is a family production : my husband who is now a professional translator of novels from English to French has volunteered to translate this "about" post. I can't promise all my articles will be translated into English... the technical jargon is somewhat daunting! But whenever possible, and particularly for the less technical pieces, I will try my best !

Bohin et la mercerie made in France

 

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Photo Thomas Jouanneau parue dans le Monde du 22 février 2011.

Dans le Monde daté du 22 février, Didier Vrac, président de Bohin parle de son entreprise, inscrite au "patrimoine industriel français".
Benjamin Bohin a créé cette fabrique en 1833, à Saint-Sulpice-sur-Risle dans l'Orne où on faisait déjà des épingles au Moyen Age.

Bien que la production d'un certain nombre d'articles de la marque soit délocalisée (en Chine ?), les épingles sont toujours fabriquées en France sur des machines d'époque, entre 1850 et 1930, comme le montre la photo ci-dessus ! C'est peut-être pour cette raison qu'elles sont de si bonne qualité...

Bohin a beaucoup de succès aux États-Unis, particulièrement auprès des quilteuses qui aiment les articles sortant de l'ordinaire. Pourtant, quand Bohin est entré sur le marché américain, c'était au début de la guerre en Irak et la France n'avait pas bonne presse. Aussi le "made in France" a-t-il été remplacé par "made in Normandy". Et comme le plus gros distributeur de mercerie était le fils de l'aide de camp d'Eisenhower (commandant en chef des armées alliées lors du débarquement en 1944), ce label a servi de Sésame !

Didier Vrac vient de reprendre Dussaussay Gallier, le dernier fabricant de ciseaux en France (à Nogent en Haute- Marne).

Un musée de l'aiguille doit ouvrir en 2013 à Saint-Sulpice-sur-Risle...

Chez Marcille

 

marcille


Click here for an English version of this post.


J’ai 8 ou 9 ans. Petite fille sage, vêtue d’une jupe plissée écossaise et d’un pull-over bleu marine (tricoté à la main) égayé par le col rond d’une blouse blanche, je vais acheter 20 cm d’extra-fort pour faire une ceinture à ma poupée, ou lui mettre un ruban dans les cheveux.
La mercerie, située non loin de chez nous, s’appelle « Les Galeries de Neuilly ». Mais personne ne l’appelle ainsi : on dit simplement « chez Marcille ». Je trouve que c’est un nom qui sonne bien pour une mercerie.
Marcille, c’est le nom des propriétaires du magasin. Il faut croire que la mercerie est un commerce florissant pour faire vivre Monsieur et Madame Marcille, qui ont l’âge d’être mes grands-parents, et leurs deux filles dont l’une, veuve, élève seule ses trois filles.
C’est un magasin tout en longueur, aux murs tapissés d’une multitude de tiroirs en bois sombre. Des comptoirs vitrés laissent voir les cartes de boutons, les dentelles, les rubans. Tout au fond, c’est le domaine de la laine à tricoter. On ne l’éclaire que si une cliente veut en acheter.
C’est Mme Marcille qui s’occupe de moi, avec un sourire un peu attendri et plein de patience, comme la boulangère qui vend des bonbons à l’unité à la sortie de l’école. Elle me traite un peu comme sa petite-fille. Moi, j’aimerais mieux qu’elle me traite comme une dame.

J’ai 15 ans. L’une des petites-filles des Marcille est dans ma classe. Nous partageons le goût pour la couture, mais c’est à peu près tout.

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Chez Marcille (in English)

 

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(Cliquer ici pour la version française.)

I am 8 or 9. A well-behaved little girl, dressed in a tartan pleated skirt and a navy blue sweater (hand-knit) contrasted with the round collar of a white blouse, I’m going out to buy ten inches of binding tape to make a belt for my doll, or perhaps tie a ribbon in her hair.
The notions store that’s about two hundred yards from where I live is called « Les Galeries de Neuilly ». But nobody ever calls it that: they just say « Chez Marcille ». I think it’s a nice sounding name for a notions store.
Marcille is the owners’ name. Selling notions has to be a thriving business, it seems, considering it is the livelihood of Monsieur and Madame Marcille — who are old enough to be my grand-parents — and their two daughters, one of whom is a widow who brings up her own three daughters by herself.
The store is long and narrow, with walls covered with rows upon rows of dark wooden drawers. Through the glass lid of the counters, one can see the button-cards, the lace, the ribbons. At the far end of the store, that’s knitting wool territory, where they put the lights on only when a customer wants to buy.
Madame Marcille herself attends to my needs, with a somewhat tender smile full of patience, just as the boulangère when she sells two centimes’ worth of sweets to the kids after school. She treats me a little as if I were her grand-daughter. I would personally prefer to be treated like a grownup.

I am 15. One of the Marcille grand-daughters is in my class. We share the same interest in sewing, but that’s about all.

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Club de Couture Nomad

 

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Je vous avais parlé ici de l'atelier CoutureNomad créé par deux Françaises installées à Singapour.

Couture Nomad s'est depuis installé aussi à Shanghai.
Si vous n'habitez pas Singapour ou Shanghai, vous pouvez tout de même en profiter, en adhérant à son club de couture.

Chaque mois les adhérents reçoivent :

- deux cours de techniques de couture en video
- un patron de vêtement (par transfert de fichier) pour mettre les cours en pratique
- un ou deux patrons selon votre niveau, avec les instructions pour le réaliser,
- un tuto, avec video, pour réaliser un objet de décoration ou un accessoire
- une video pour construire un patron.

Comment en profiter ?
Vous devez souscrire un abonnement : 25$, soit environ 18 € par mois.
Vous aurez alors un identifiant et un mot de passe vous permettant d'accéder à la vidéothèque de Couture Nomad.
Et chaque mois, vous recevrez par mail les patrons et "step by step" correspondant à votre abonnement.

Et pour vous faire une idée, voici un exemple d'accessoire que vous pouvez réaliser : une ceinture de style obi : ici,
et la video du 1er cours : ici.

Couture Nomad vous invite à découvrir gratuitement le site du Club Couture Nomad et accéder à toutes les vidéos en ligne du 10 au 17 Avril 2013.
Il vous suffit d'envoyer votre Nom, Prénom, Pays de résidence et langue maternelle à sewingclub@couturenomad.com.
Profitez-en !

Concours de CoutureNomad

 

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CoutureNomad, dont j'ai déjà parlé ici organise un concours permettant de gagner l'ensemble des patrons de sa nouvelle collection "Urban Jungle".
Pour tout savoir sur ce concours, cliquer ici.

Si vous souhaitez des informations complémentaires, adressez-vous directement à CoutureNomad.

A vos aiguilles et bonne chance !

Concours de couture amateur

 

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L'atelier du tailleur, lithographie coloriée de la 1ère moitié du XIXème siècle. BKP, Berlin.

Je viens de recevoir l'annonce ci-dessous qui peut vous intéresser.
Je trouve l'idée sympathique (cela changera des émissions sur la cuisine !), mais je ne suis pas partie prenante de cette émission et je n'assume personnellement aucune responsabilité sur le déroulement de l'opération.


CASTING TV

Dans le cadre d'une nouvelle émission pour une grande chaîne hertzienne (M6), nous organisons un casting de couturiers amateurs dans toute la France (homme/femme).

Pour participer au casting, envoyez-nous au plus vite et avant le 8 janvier 2014 votre candidature avec :

Nom, Prénom, Age, Ville, Profession, Photos et Blog/Site (si vous en avez un) à l'adresse mail (et à aucune autre) :

tvcouturecasting@gmail.com


Lancez-vous, c'est le moment !

Attention !
Ne déposez pas votre candidature sur le site coupecouture, ni en commentaire, ni par "contact avec l'auteur" : je ne m'occupe pas des inscriptions.


Cotons à broder DMC : une production française

 

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La filature DMC (Dollfus-Mieg et Compagnie) a été fondée près de Mulhouse en 1812, et la production de fil à coudre a commencé en 1840. Il s'agissait d'abord de fil mat puis, grâce à une technique importée d'Angleterre (le mercerisage), de fil soyeux : le « mouliné spécial » que nous utilisons toujours pour la broderie.
Au début, il n'y avait que le rouge (n°321) qui servait à marquer le linge. Il parait que c'est encore le numéro le plus vendu...

Actuellement, il y a 573 couleurs, chacune repérée par son numéro. Le contrôle des couleurs (donc la qualité du bain de teinture) se fait à l'œil nu !
Le nuancier est téléchargeable ici.
Il a fallu une certaine dose d'imagination pour attribuer un nom à chaque couleur.

Entre les années 1980 et 2010, l'avenir de DMC était incertain. Mais après plans sociaux, dépôt de bilan et restructurations, (les magasins Loisirs et Créations, qui étaient le paradis des brodeuses et bricoleuses ont disparu...) « DMC va bien ».
Chaque jour, un million d'échevettes sortent de l'usine à destination de la France et du monde entier.

On trouve les cotons DMC en mercerie. Certains sites cassent les prix, comme universbroderie que j'ai expérimenté récemment.

Remarque :
Cet article n'est pas sponsorisé par DMC ! On peut lire des informations plus complètes sur l'entreprise ici.

Couture Nomad arrive en France...

 

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... et propose des cours de couture.
Je vous avais parlé ici et de Couture Nomad, un club de couture installé d'abord à Singapour puis à Shanghai.

Sa créatrice, Catherine Stassin, me charge de vous annoncer que Couture Nomad arrive en France ! Voici ses précisions :

Couture Nomad est une petite entreprise, déjà présente dans plusieurs villes du monde à travers ses Nomadettes. Des femmes formées par Cathy à sa méthode de couture en 12 étapes. Une fois formées, les Nomadettes enseignent à leur tour cette méthode aux élèves qui s'inscrivent. Qu'elles soient en France, à Singapour ou en Chine, une fois qu'elles ont obtenu le statut de Nomadettes, elles peuvent donner naissance à leur business, ce qui permet une souplesse et flexibilité du temps de travail, une structure légère et de gagner leur vie tout en faisant ce qu'elles aiment le plus : la couture !
De leur coté, les élèves se réunissent une fois par semaine pour suivre la méthode des 12 étapes, développée par Catherine après des années de formation et réflexion.  Ces 12 étapes, données en 48 leçons, sont accomplies généralement en 12 mois, laissant le temps de bien assimiler tout en suivant un rythme d'apprentissage fluide.
Les élèves partent d'un niveau basique et arrivent à maitriser les différentes possibilités que la couture offre, étant capables de réaliser des tops, jupes, pantalons, chemises, blouses, trench coats, etc au fur et à mesure des cours.

Après s'être développé à Singapour et en Chine, Couture Nomad arrive en France, proposant la méthode en 12 étapes à Neuilly (Hauts-de-Seine).  Les cours démarrent en mars et seront assurés par Cécile, (bilingue français /anglais).

Deux démonstrations de couture seront organisées les 17 et 21 mars par Cécile.
Contact et renseignements sur le site de Couture Nomad.

Afin de se faire connaitre, Couture Nomad à travers Coupe Couture vous offre un patron de robe d'été gratuit en échange d'une petite photo de la robe finie...
Il vous suffit de vous inscrire ici. Vous recevrez par le patron et les conseils de réalisation par mail sous 48 heures (il faut tenir compte du décalage horaire !).
Voici le modèle :

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Couture à la BNF

 

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La dernière lettre de la BNF (bibliothèque Nationale de France) est consacrée aux "ouvrages de dames" et aux travaux de couture, ce qui me permet de vous montrer, après la Singer russe, les "réclames" pour deux autres machines à coudre vendues en France : la Peugeot, ci-dessus et l'Avrial ci-dessous.

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J'ai bien aimé aussi cet extrait d'une revue "les travaux de l'amateur" de 1930,

et, la description de la boite à ouvrage dans Les Malheurs de Sophie (par la Comtesse de Ségur), ici.

Les illustrations sont extraites de gallica.bnf.fr

Créer son propre tissu

 

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L'atelier du peintre, Adriaen Jansz van OSTADE, 1663
Gemäldegalerie, Dresde

Sylvie Chantraine, une lectrice de coupecouture, m'a fait découvrir le site américain spoonflower qui vous propose de créer un motif pour tissu ou papier, et se charge de l'imprimer sur tissus, papiers cadeaux ou papiers peints à partir de motifs.

Sylvie a elle-même créé un grand nombre de motifs regroupés sous le label Paysmage que vous pouvoir ici .

Je n'ai pas fait l'essai, mais il parait que le résultat est de très bonne qualité et le service excellent.

Alors, si vous cherchez un tissu vraiment original, ou si vous avez une âme d'artiste, pourquoi ne pas essayer ?
- créez ou choisissez un modèle,
- sélectionnez la qualité de tissu (coton, soie, jersey...)
- et commandez le métrage souhaité.
A noter que sur ce site américain, les métrages sont en yards (0,914m), les largeurs de lé en pouces (42 pouces = 106,7 cm) et les prix en dollars....
Vous bénéficierez d'une remise de 10% si vous créez votre propre modèle.

Bonne création !

Il faut sauver les merceries !

 

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L’enseigne de Gersaint (détail), Watteau, 1720, Château de Charlottenburg (Berlin).

Au 18ème siècle, les «marchands merciers » (comme Gersaint) ont des boutiques d’objets de luxe qu’ils commandent en faisant travailler ensemble sculpteurs, ébénistes, céramistes, orfèvres et bronziers, ou importent et font transformer pour répondre au goût de leur clientèle…Tout cela a bien changé !

Aujourd’hui, les merceries, ces cavernes d’Ali-Baba pour couturières, disparaissent les unes après les autres. Pourtant, quand on fouine dans une vraie mercerie (par opposition aux présentoirs de supermarchés), on découvre souvent de nouveaux accessoires qui facilitent le travail ou permettent de « customiser » les ouvrages. Alors, comment faire ?

Une petite entreprise, grossiste en mercerie, a une démarche intéressante.
Elle a mis en place un site destiné aux commerçants partenaires qui s’approvisionnent chez elle, mais également aux particuliers qui peuvent consulter son catalogue.

Pour nous, particuliers, la démarche proposée est la suivante :
- choisir dans le catalogue le ou les articles qui nous intéressent et en noter les références,
- sélectionner la mercerie partenaire la plus proche de chez soi
- demander l’article à cette mercerie et, si elle ne l’a pas en magasin, lui demander de la commander.

On trouve aussi sur ce site des fiches conseil et des video qui donnent bien envie de faire encore plus de couture !

Imprimer

 

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La presse de Gutenberg (1440)

Grâce à Clotilde, il est maintenant possible d’imprimer les articles de Coupecouture :
Cliquer sur « imprimer » situé en bas de l’article pour obtenir un format adapté et utiliser la fonction d'impression du navigateur (Internet Explorer, Mozilla Firefox, etc...).


Rappel :

Lorsqu’un mot est écrit en bleu et souligné, c’est qu’il y a un renvoi vers une autre page internet.
Cliquer sur ce mot pour y accéder. Ce peut être :
- un article de Coupecouture : la page s’ouvre dans la même fenêtre. Pour revenir à la page précédente, utiliser la flèche « Page précedente » du navigateur internet.
- une photo de Coupecouture.
- un site externe : la page s’ouvre dans une nouvelle fenêtre.

Joyeuses Pâques !

 

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La Résurrection, Fra Angelico, Couvent San Marco à Florence, vers 1440.

Joyeux Noël !

 

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Georges de la Tour, L'adoration des Bergers, vers 1644, Musée du Louvre.

Joyeux Noël !

 

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Francesco di Giorgio Martini, 1470.

A la fin du 19ème siècle, il arrivait assez souvent qu'on démembre une oeuvre pour en faire plusieurs tableaux et en tirer un meilleur profit. C'est ce qui est arrivé à ce panneau de bois peint à Sienne vers 1470, dont la lunette représentant Dieu le père a été découpée et appartient maintenant à la National Gallery of Art de Washington, tandis que la Nativité elle-même appartient au Metropolitan Museum of Art de New-York. Actuellement, l'ensemble est exposé à Washington.

Joyeux Noël !

 

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La Nativité, Lorenzo Costa (peintre de l'Ecole de Ferrare, 1460-1535).
Musée des Beaux-Arts de Lyon

L'Orient des femmes

 

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(la photo est extraite du blog passezquandvousvoulez. )

Comme le conseille l'auteur du blog Louvre-Passion, je suis allée voir l'exposition "L''Orient des femmes" au musée du quai Branly.

Ce sont des robes de fête, datant pour la plupart des années 1925-1930, portées par les femmes du Moyen-Orient, de la Syrie à la Palestine.

Les tissus sont en soie, en coton ou en lin. Les coloris font une large part aux rouges. Les broderies rappellent la tapisserie au petit-point ou les robes roumaines.
Les robes sont toutes confectionnées de la même manière, en assemblant des rectangles, des trapèzes et des triangles :
- devant et dos en trapèze
- manches également en trapèze, montées comme des manches kimono. Elles sont tantôt resserrées vers le poignet, tantôt en "aile d'oiseau" comme sur la photo ci-dessus.
- encolure ronde et fente devant, bordées d'un galon
- plastron brodé
Comme les robes sont plus larges qu'un lé de tissu, des triangles sont ajoutés sur les côtés.
Il n'y a ni pinces, ni fronces, ni arrondis (sauf pour l'encolure).
Une robe d'enfant du 13ème siècle est faite exactement sur le même modèle.

Sur leurs coiffes et sur leurs burqas (qui protègent le visage des vents de sable), les femmes portent leurs richesses : bijoux d'argent, pièces et coquillages cousus et... boutons de culotte !

Dans une petite salle, on peut toucher des robes confectionnées dans ce but. On peut voir ainsi que toutes les coutures sont faites à la main, bien sûr, et que c'est la technique du parement qui est utilisée pour l'encolure.

Cet après-midi-là, tous les visiteurs étaient des femmes...

Madame Grès : la couture à l'oeuvre

 

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Après "l'Orient des femmes", voici l'Occident : les robes de Madame Grès, exposées au musée Bourdelle.

La photo est extraite du site de l'exposition .

Le musée Bourdelle comporte l'atelier du sculpteur (1861-1929), une grande galerie et une aile moderne construite par l'architecte Porzamparc, tout cela autour d'un petit jardin bien agréable en ce début de vrai printemps.
Les robes de Madame Grès (1903-1993) sont disposées au milieu des sculptures d'Antoine Bourdelle, ce qui est pertinent puisqu'elle-même aurait voulu être sculpteur.

Autant les robes d'Orient ont une coupe simple rehaussées de broderies colorées très décoratives, autant celles de Madame Grès ont des coupes complexes, sculpturales mais sans aucun ornement autre que l'enroulement du tissu lui-même.

La spécialité de ce grand-couturier qui a présenté ses premières robes en 1937 était les plissés drapés : elle utilisait de fins jerseys de soie naturelle ou artificielle, les plissait de façon excessivement serrée (elle réduisait à 40cm un lé de 280cm : il fallait avoir beaucoup de patience pour travailler dans son atelier !) et les drapait, les nouait, les modelait sur le corps comme le ferait un sculpteur.

Madame Grès a également fait quelques robes plus "classiques", particulièrement à l'époque du New Look puis dans les années 1970, mais toujours avec une grande recherche dans la coupe qui soulignait le buste, et une certaine sobriété dans les tissus.

Outre les robes posées sur des mannequins et des photos d'art, on peut voir des carnets de croquis assortis d'annotations, d'échantillons de tissus et de prix (3 000 francs en 1937, 30 000 francs en 1947*...).
Un carnet de mensurations montre que Paloma Picasso comptait parmi ses clientes.

(*) l'Insee fournit un outil d'actualisation :
3000 francs en 1937 vaudrait 2040€ en 2010 et 30 000 francs en 1947 vaudrait 2334€ en 2010 .

Singer en Russie

 

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Dans son blog la plume de loin, une jeune Moscovite, Hélène, nous fait visiter sa ville. Elle écrit dans un excellent français, et j'aime beaucoup la lire.

Il y a un mois, elle nous emmenait dans une exposition sur les entreprises du XIXème siècle. C'est là que j'ai trouvé cette belle affiche publicitaire pour les machines à coudre Singer.

Textile "made in France"

 

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Paul Sérusier (1864-1927), La Marchande d'étoffe. Genève, musée du Petit Palais.

Contrairement à ce qu'on croit souvent, l'industrie textile existe encore en France, notamment dans les Vosges, en Alsace, dans le Nord et en Auvergne-Rhône-Alpes.

Comment savoir si un article est réellement fabriqué en France, alors que « il suffit de coudre un bouton en France »(*) pour qu'il puisse bénéficier de la mention « made in France » ?
C'est pour répondre à cette question qu'un groupe d'industriels du secteur (72 actuellement) ont créé un nouveau label « France terre textile ».

Pour attribuer ce label, on note selon un barème précis chaque étape du processus de production : recherche et développement, filature, tissage et tricotage, "ennoblissement" (**), confection et logistique. Il faut 75 points sur 100 pour obtenir le label.

Ainsi, la prochaine fois que vous achèterez du linge de maison, vous pourrez savoir s'il est réellement « made in France », du moins à 75%.

(*) Paul de Montclos, président de la fédération France terre textile, cité par le Monde du 15 octobre 2016.


Trois (nouveaux) sites qui ont retenu mon attention

 

Caspar_David_Friedrich_-_Frau.jpg

Caspar David Friedrich (1774-1840) Femme à la fenêtre, 1822,
Berlin, Alte Nationalgalerie

couture nomade

couturenomad.jpg
Elles sont françaises et vivent à Singapour.
L'une est styliste, l'autre est modéliste et, ensemble, elles ont créé Couturenomad.
Elles inventent des modèles inspirés de l'Asie du Sud-Est, pour homme, femme, enfant et bébé, et en vendent les patrons (multi-tailles) accompagnés d'une marche à suivre très détaillée pour la réalisation.
A l'origine, leur site est en anglais, mais la version française est en cours de réalisation.
Et si vous habitez Singapour, vous pouvez suivre leurs cours de couture dans leur atelier.
 
 Aiguillez-moi

aiguillez-moi.jpg

Marie a créé ce site pour nous aider à nous y retrouver sur la Toile des travaux d'aiguille : couture, tricot, broderie, patchwork.
Vous cherchez une machine à coudre, un patron ... ? elle vous propose une liste de modèles par marque, avec le lien pour accéder au site du vendeur.
Vous cherchez une leçon de couture, tricot, broderie ? Elles sont là aussi (et coupecouture est cité : l'honneur est sauf !).

Marie a aussi prévu des petites annonces pour vendre ou acheter de particulier à particulier.
Mais ce site, c'est aussi le vôtre : vous pouvez l'enrichir avec des produits que vous connaissez et des commentaires.


SP Sélection Privilège

SP-privilege.jpg

Cette boutique en ligne propose des tissus d'ameublement.
Grâce à un accord passé avec de grands éditeurs français, elle vend, sous leurs marques, leurs fins de série.
Ce sont donc des tissus de qualité, à des prix cassés. Je n'ai pas testé le site, mais cela parait très séduisant.
Attention : qui dit "fin de série" dit "stock limité". Il vaut donc mieux commander en une seule fois tout le métrage dont on a besoin.


Un porte-aiguilles japonais

 

livre-ouvert


Clotilde m'a rapporté de son voyage au Japon un adorable porte-aiguilles.
C'est un carnet tout en feutrine.
Comme sur un livre japonais, le gland qui décore la couverture se trouve sur ce qui est, pour nous, le dos du livret.

livre-ferme


A l'intérieur, il y a des épingles comme on n'en trouve guère (*):

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Ce porte-aiguilles vient d'une boutique qui fabrique et vend des aiguilles et des épingles depuis le 18ème siècle. Vous en verrez ici quelques photos.


(*) Question pour ceux qui connaissent le japonais : y a-t-il un rapport de son ou de caractère entre épingle et gland de chêne?

Vendredi Saint

 

Crucifixion-Ottawa.jpg

La Crucifixion, Quentin Metsys vers 1515. National Gallery of Canada, Ottawa.

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